Réalisé pour le court-métrage Les Yeux de la Libellule (Nati Corvina, 2020), le Projet Abigail est une bande sonore originale composée par David G. Neil et Kwystaxxxx pour correspondre à l’atmosphère fantasmagorique de l’œuvre. Pour ce court-métrage fantastique et horrifique, Nati Corvina s’inspire des musiques de célèbres gialli telles que l’OST de Mais… qu’avez vous fait à Solange ? aka Cosa avete fatto a Solange? (Massimo Dallamano, 1972) ou encore celle de Le Chat à neuf queues aka Il gatto a nove code (Dario Argento, 1971) composées par Ennio Morricone.
Lors de sa fête d’anniversaire, le petit Zacchary et ses camarades sont les victimes d’un massacre. Il y’a très peu de survivants, une mère dévastée, un petit garçon dans un état grave et la petite Abigail qui semble fortement affectée par ce drame. L’enquête est confiée à l’inspecteur Richard Bach, de la brigade criminelle et à son jeune et fougueux coéquipier Stephen Leroi, sorti tout droit de l’école de police. Après avoir interrogé, la mère d’Abigail, les soupçons se tournent vers le père de l’enfant que tout le voisinage accuse. Afin d’éviter un possible lynchage, l’inspecteur Bach essaye de découvrir rapidement la vérité en allant interroger à nouveau la petite Abigail mais ne sera au bout de ses surprises.
Réalisation : Nati Corvina
Production : Three Mothers Films
Musiques : David G. Neil, Kwistaxxxx, Projet Carabanchel/Vincenzo Autolitano
- 1 – Abigail’s Theme (David G. Neil) – 4.39
- 2 – Atrocity (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 3.17
- 3 – Electrophone, mélodie d’un soir (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 3.22
- 4 – Ferme les yeux et tu verras mes larmes – Mater Lacrimarum (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 00.48
- 5 – Les enfants de l’obscurité – Mater Lacrimarum (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 00.52
- 6 – Ne te retournes pas – Mater Larcimarum (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 5.14
- 7 – Quell’ombra nel buio (Projet Carabanchel – Vincenzo Autolitano) – 7.08
- 8 – Secret recording (Kwystaxxxx) – 4.37
« La musique que je compose n’est pas réfléchie. Elle me tombe dessus. Pour le court-métrage, je vous [Nati Corvina et Tritri] ai entendu en parler et quand je me suis mis devant le piano, le premier arpège est venu tout seul. Ensuite, le reste écoulé quasiment naturellement… »
David G. Neil

Laisser un commentaire