Si douces, si perverses
Le jour, ce sont deux filles de bonne famille, deux fleurs dĂ©licates que les hommes convoitent pour leur beautĂ© et leur Ă©lĂ©gance. Le soir, elles se transforment et deviennent de terribles sĂ©ductrices auxquelles aucun homme ne peut rĂ©sister. Leurs corps, habituellement dissimulĂ©s, se dĂ©voilent Ă la vue de tous et le fin tissu qui les enveloppe ne laisse que peu de place Ă l’imagination. Chacune d’elles peut laisser libre court Ă sa perversion. La plus jeune aime soumettre les hommes et, sous ses ordres, les voir se dĂ©placer Ă quatre pattes, venir lui lĂ©cher les pieds et se coucher sur le dos pour qu’elle dispose de leur sexe Ă sa convenance. Elle les chevauche et jouit abondamment sur eux avant de les laisser partir, qu’ils aient Ă©jaculĂ© ou non. La seconde attire les hommes pour marquer leur peau Ă grands coups de fouet, de gifles ou de n’importe quel outil qui lui tombe sous la main. Ses nuits sont un mĂ©lange de coups, de cris et de sang. Si un homme lui plait particuliĂšrement, elle le sodomise avec les plus gros objets qu’elle rĂ©ussit Ă introduire, son plaisir ultime est de pouvoir enfoncer son poing au plus profond d’un cul dilatĂ© par ses soins. En de rares occasions, elles s’offrent une soirĂ©e de tendresse, une nuit d’amour oĂč la douceur est la compagne parfaite. Dans ces moments-lĂ , enlacĂ©es, elles se donnent un plaisir qu’aucun amant ne peut leur offrir. Les langues se mĂȘlent, les mains caressent, les ongles glissent et les doigts pĂ©nĂštrent. Elles se connaissent parfaitement, que ce soit la maniĂšre de lĂ©cher le clito de l’autre ou la maniĂšre dont elles aiment se faire pincer les tĂ©tons. Peau contre peau, elles s’aiment d’un amour intense et pur mais que la morale interdit…

L’Adorable Corps de Deborah
Cet adorable corps que les hommes dĂ©sirent, objet de tous les fantasmes. Dans l’espoir d’en apercevoir un peu plus, ils sont prĂȘts Ă lui offrir tout ce qu’elle demande et elle connaĂźt la force de son pouvoir. Que ce soit son loyer ou ses bijoux, elle ne dĂ©bourse rien. Ils se voient dĂ©jĂ , la dĂ©shabiller, caresser son corps, la regarder Ă genoux, un membre en bouche ou encore derriĂšre elle pendant qu’elle Ă©tale son corps sur le plan de travail de la cuisine. Ils veulent tous ĂȘtre le suivant mais le prĂ©cĂ©dent n’est qu’une rumeur et pour cause, seule une femme peut avoir la chance de parcourir ses courbes. Et elles gardent prĂ©cieusement son secret, profitant de ses talents pour l’orgasme fĂ©minin, la maĂźtrise de sa langue et l’agilitĂ© de ses doigts. Mais si ces messieurs le savaient, continueraient-ils Ă lui faire des cadeaux ? Probablement, comment rĂ©sister Ă cette beautĂ© naturelle ? Et encore une fois, ils se trompent, beautĂ© certes mais naturelle elle ne l’est pas, chaque Ă©lĂ©ment a Ă©tĂ© minutieusement choisi pour attirer le regard. De son visage d’ange Ă ses seins voluptueux en passant par ses hanches dĂ©licates, rien n’a Ă©tĂ© laissĂ© au hasard. Il y a quelques annĂ©es, ils auraient ignorĂ© l’homme qu’elle Ă©tait mais aujourd’hui, malgrĂ© tous ces pervers qui l’entourent, elle aime ĂȘtre dĂ©sirĂ©e pour qui elle est vraiment.

Les Allumeuses
Je m’installe au bar, Ă cĂŽtĂ© de mon amie et rapidement, je capte un regard de beaux yeux noisettes fixĂ© sur moi. Il faut dire que mon dĂ©colletĂ© bĂ©ant ne laisse personne indiffĂ©rent. Je scrute l’homme tout en caressant lentement mon cou et je sens qu’il me dĂ©shabille dĂ©jĂ depuis le fond de la piĂšce. Un mot glissĂ© Ă l’oreille de mon amie et nous nous dirigeons vers une table vide avant de nous asseoir sur la banquette qui me permet d’observer l’ensemble de la salle. D’un simple signe de la tĂȘte, j’invite l’inconnu Ă nous rejoindre, ce qu’il fait bien plus vite que ce qu’il aurait voulu. Au moment oĂč il prend place sur la chaise en face de nous, j’aperçois une belle bosse qui dĂ©forme son pantalon et j’imagine que son engin, d’une belle taille, doit ĂȘtre trĂšs Ă l’Ă©troit lĂ -dedans. Nous entamons la conversation et je caresse nonchalamment la peau qu’offre mon dĂ©colletĂ©. Tout en me foutant complĂštement de ses rĂ©ponses, je continue Ă lui poser des questions en Ă©tant de plus en plus intime. Je sens qu’il est prĂȘt Ă me sauter dessus et c’est lĂ que je dĂ©gaine mon arme ultime pour le faire complĂštement exploser. Je me tourne alors vers mon amie et l’embrasse langoureusement. Je sens ses mains glisser sur mon corps et tirer sur mon haut jusqu’Ă dĂ©voiler un de mes seins. Notre bulle Ă©clate et nous revenons Ă la rĂ©alitĂ© pour constater les dĂ©gĂąts. En rangeant ma poitrine dĂ©nudĂ©e, je remarque quelques hommes bouche bĂ©e et surtout notre nouvel ami qui se tortille sur sa chaise. Il va irrĂ©mĂ©diablement finir par craquer son slip. Je me dĂ©lecte de la situation jusqu’Ă ce que, comme convenu, mon amie se mette Ă bailler avant de me faire remarquer que l’heure tournait. Le rĂ©veil sonne tĂŽt demain matin. Nous nous excusons auprĂšs de notre victime de la soirĂ©e et quittons le bar en lui laissant le soin de rĂ©gler notre note. Nous rions sur le trajet du retour et je la dĂ©pose chez elle avant de rentrer chez moi. Je connais la suite de sa nuit, ce sera la mĂȘme que la mienne, elle va se coucher dans le lit conjugal et faire l’amour Ă son mari en pensant Ă ces hommes qui voudraient ĂȘtre Ă sa place. Demain matin, comme toujours, nous allons nous appeler pour tout se raconter et, la prochaine fois, c’est elle qui choisira la cible.


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