L’équipe Three Mothers Films a été invitée par la plateforme Shadowz à assister à la projo, en avant-première, mardi 30 Septembre 2025, à Paname, du film d’horreur fantastique Good Boy, de Ben Leonberg. Ces quelques lignes présenteront cette œuvre filmique originale.
Synopsis : Un chien fidèle accompagne son maître dans une maison de campagne isolée. Mais bientôt, il perçoit des forces surnaturelles tapies dans l’ombre. Alors que ces entités malveillantes menacent son compagnon humain, le courageux animal doit livrer un combat acharné pour protéger celui qu’il aime plus que tout.

Nous ne ferons ici que dessiner les grandes lignes et les grands mouvements pris par le scénario et par son traitement à l’image, sans formuler de critiques ouvertes, sans dévoiler aucun élément-clé de l’intrigue, sans divulgâchis/spoil. En effet, vous aurez d’abord l’occasion de vous faire votre propre jugement, dès sa sortie (très prochaine) en salles aux USA à partir du 3 Octobre, en France le 10 et 11 Octobre 2025, puis sur la plateforme VOD spécialisée horreur / thriller Shadowz fin Octobre 2025 !
Il nous appartiendra aussi de respecter le travail du cinéma indépendant en général, et ici en particulier, le travail des artistes (le réalisateur Ben Leonberg, sa co-scénariste Alex Cannon, sa co-productrice et compagne Kari Fisher et des techniciens, et le chien !) en lui permettant de rencontrer le public, tout particulièrement alors que la sortie de ce long-métrage d’1h12min approche ! Pas de spoil ici donc !
Le film Good Boy a été présenté pour la première fois au South by Southwest à Austin, en Mars 2025. Dans cette capitale du Texas, le SXSW est un grand raout annuel mêlant à la fois 90 scènes musicales (une des plus grands rassemblements des USA) depuis 1987, un festival de cinéma depuis 1994 et un rassemblement entre créatifs et médias interactifs. Good Boy a poursuivi son trajet prometteur à travers plusieurs festivals, comme le Overlook Film festival (Oregon, USA), le Film at Lincoln Center (New York, USA) et en Australie au Melbourne International Film Festival le 8 Août 2025. Pour trouver ensuite une distribution, avec IFC (Independant Film Company) et Shudder (plateforme VOD spécialisée dans l’horreur/le thriller de AMC Networks) aux USA, où il sortira en salles le 3 Octobre 2025.
Alors que nous terminons la publication de cet article, nous apprenons que Good Boy a remporté l’Octopus d’Or dans la compétition internationale de films fantastiques au Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg 2025.
Good Boy : premier film d’horreur perçu à travers le regard d’un chien !

C’est en constatant que son chien observait parfois des recoins de la pièce ou bien reniflait des zones obscures, sous les meubles, que Ben Leonberg eut l’idée qu’il pourrait s’y trouver des fantômes, des démons, des entités, uniquement perceptibles par son toutou. Là naissait l’idée initiale du scénario… Le réalisateur nous fait aussi savoir dans l’interview qu’il donne au média web Filmmaker l’importance du film Poltergeist (Hooper & Spielberg, 1982) pour son inspiration.
« Sur l’aspect créatif, dit-il dans l’interview, nous avons essayé d’imiter la mission que Jack London avait donnée à ses protagonistes canins de Croc-Blanc et L’Appel de la Forêt « .
Pour cette approche « canine-réaliste », le réalisateur a choisi son propre chien. Pour coller au plus proche de la perception de son protagoniste à quatre pattes, pour conserver une proximité émotionnelle de la bête avec son « maître » dans la fiction, mais aussi pour obtenir une fidélité avec ses comportements canins naturels (mouvements, jappements, poses d’attente…), il a choisi de faire travailler sa propre bête dans le cadre domestique, « sur 400 jours effectifs, pendant environ 3 ans » !, de sorte à éviter le stress d’un plateau de tournage (plein de techniciens, de spots lumineux,…), où il aurait aussi dû passer par des étapes de dressage forcé.
« Il n’est pas influencé avec une voix ou bien dirigé par des pensées abstraites, mais par l’instinct, la sensation et par un raisonnement simple« , explique le réalisateur.
En choisissant le cadre domestique, celui-ci obtint donc un comportement naturel et calme de son chien, et par là, des poses et des attitudes canines peu courantes à voir en fiction ciné.

Par ailleurs, privilégier les intérieurs (les intérieurs de sa propre maison !) permettait une plus grande aisance, qu’en extérieur, dans la préparation des prises de vue et des set-ups. Filmer des animaux requiert en effet une extraordinaire patience et de grandes capacités d’adaptation. Jacques Audiard, à propos de son film Les Frères Sister (2018), raconte ici combien il déteste les chevaux, à cause des contraintes de production qui leur sont liées (nécessité légale de doublures chevalines, assurances, fourrages,…). On se souviendra aussi utilement, toujours à propos de la difficulté à filmer les animaux, de la scène culte du chat (Cf. Sources utilisées) dans La Nuit Américaine (1973), de Truffaut.
Enfin, il y a aussi la contrainte financière, qui entraîne des choix de limitation dans le traitement, que l’artiste réussit à faire oublier au public en utilisant justement ces contraintes comme autant de ressorts artistiques, scénaristiques et cinématographiques, permettant une narration renouvelée. Ainsi, le film reste d’une durée assez courte d’1h12min, ce qui le rend plutôt intense et efficace, et ne nous fait pas tomber dans le piège de faux arcs narratifs déployés uniquement pour satisfaire à des formats commercialo-industriels de temporalité.
Ce parti-pris général permet donc l’exploitation narrative de cadrages nouveaux, où la contre-plongée est reine, où les axes de plans sont au ras du sol, où les suivis du chien au steadicam, le long des couloirs et escaliers, permettent quelques jump scares bien sentis. Mais aussi l’exploitation – nouvelle – d’attitudes canines inédites.
Good Boy, c’est quoi comme chien ?
Indy, la vedette du film, est un retriever de la Nouvelle-Ecosse (Nova Scotia Duck Tolling Retriever), un chien de chasse, assez rare, mais connu dans le Nord-Est américain et au Canada, d’où il est originaire. Comme leur nom (anglais) l’indique, les retrievers, et celui-ci sont les plus petits (en taille) de sa catégorie, ont pour tâche de récupérer oiseaux et petits gibiers, abattus au fusil et tombés dans des étangs parfois aux eaux glacées, et de les rapporter. Excellents nageurs, ces chiens de rapport (« tollers« ) expliquent en partie l’intelligence du chien du film, dans l’expressivité de son attitude notamment, et dans sa capacité d’observation de l’environnement.
La narration, et la tension sont parfois amenées par des plans suivant les regards du chien. L’auteur explique dans Filmmaker que ce résultat avait été obtenu par un « mix entre entraînements à la maison et d’effets Koulechov » (Cf. Sources utilisées). Les effets Koulechov sont utilisés à plein régime par Ben Leonberg et sont mixés avec d’autres ingéniosités innovantes. Il explique « l’évidente difficulté physique de manipuler des machines à pluie », et celle « d’éclairer correctement la pluie ». Il recourut donc autant que possible aux aléas de la météo locale, notamment aux périodes de brouillard dense.
« Les chiens mouillés ont l’air tristes ! Mais Indy est un chien d’eau, alors il ne se faisait pas de soucis ». Grâce à la magie de la mise en scène et du montage, un simple chien mouillé assis aux yeux fixes nous fait croire à une bête malheureuse, battue par les vents, dominée et écrasée par une avalanche de sournoises horreurs à venir. La performance d’actoring de l’animal était engendrée par « des stimuli divers et variés (nourriture, gestes physiques, chocs d’objet lointains, appels vocaux…)« .

Il montre aussi assez peu d’agressivité, comme aurait pu le faire plus facilement un chien de garde, type dogue allemand, ou un chien de troupeau. Une scène évocatrice montre Indy en posture d’attente, son maître étant sorti à l’extérieur. Un cut nous fait passer d’un seul coup du jour à la nuit alors que le chien reste au centre du plan et n’a pas bougé, pendant plusieurs heures. Cela montre son absolue loyauté et sa fidélité indéfectible, et permet ensuite de produire l’empathie du public pour le chien, de plus en plus confronté à des visions d’horreur.
D’autres séquences nous montrent encore cette absolue fidélité, dans un monde fait par et pour les humains, un monde qu’il est loin de comprendre, où il s’adapte en permanence et où son maître, souvent une simple silhouette avec deux jambes, lui sert de boussole. Ainsi, du ronronnement du vibreur du smartphone, dont Indy perçoit à peu près qu’il s’agit d’une relation de son maître avec l’extérieur, et qui active chez lui des comportements spécifiques. Ainsi du générateur d’électricité, qui semble beaucoup contrarié son maître, et qui permet d’illuminer poussivement la maison, au cours de nuits sombres et pluvieuses.

Peut-être eut-il été intéressant d’utiliser cette approche réaliste de la perception du chien, d’une façon encore plus poussée, à travers l’utilisation, comme donnée scénaristique, de ses sens canins véritables, et même de sa cognition. Nous savons par exemple que la densité de bâtonnets présents dans leurs rétines est plus importante, ce qui entraîne une meilleure perception du mouvement. Le « tapi » rétinien des chiens est également mieux adapté aux basses lumières, ce qui les rend nyctalopes, comme les hiboux et les chats (mais pas autant). C’est pourquoi, lorsqu’on observe son chien dans la nuit, on observe parfois deux pupilles luisantes réfléchissantes, dans le noir. Si ces paires de pupilles sont effectivement exploitées dans le film, dommage par contre qu’il n’y ait aucun plan POV subjectif du chien lui-même, ni d’exploitation de cette donnée biologique réelle, dans le film !
Nous aurions découvert que les chiens sont nyctalopes, mais aussi daltoniens ! C’est-à-dire plus précisément que leur vision dichromatique ne leur permet pas de voir les rouges et les oranges, contrairement à notre vision humaine trichromatique (vert-rouge-bleu) ! Leurs yeux plus latéraux que nous autres humains leur donnent un champ de vision de 250° à 270 degrés, au lieu de 180°. Ils voient donc mieux derrière eux que nous, mais distinguent, par contre, pour la même raison, moins bien la 3D et les reliefs, à cause de cette latéralité, en particulier si l’objet perçu reste fixe. Ne possédant pas de fovéa, ils perçoivent enfin moins bien les détails visuels que nous, font montre d’une moindre acuité visuelle, mais, en bons prédateurs carnivores descendants du loup, ils perçoivent mieux les mouvements, grâce à la densité des bâtonnets de leurs rétines (Cf. Sources utilisées).
Ces maigres défauts sont très largement compensés par un des odorats les plus développés du règne animal. Leur organe vorémonasal, ou organe de Jacobson, pour reconnaître les phéromones, situé derrière leurs incisives, mesure 130 cm, en moyenne, quand le nôtre fait 3 cm, en moyenne ! Leur rhinarium (truffe), une muqueuse à but olfactif, en plus de simplement capter les molécules odoriférantes, peut détecter les changements de pression et de température dans l’atmosphère. Le labrador retriever peut posséder jusqu’à 220 millions de cellules réceptrices dans leur museau, ce qui lui permet de sentir une piste 3 à 6 semaines après le passage d’une proie, si les molécules odorantes n’ont pas subi de dégradations (dues à des intempéries, par exemple). Une partie importante de leur cerveau est dévolue aux odeurs, à l’analyse et à la mémorisation des phéromones, à tel point que certains scientifiques pensent que les chiens « voient » les odeurs, tout comme les dauphins voient leur environnement marin, au moyen des sons émis par leur sonar, c.-à-d. par leur ouïe. Nous vous laisserons découvrir par vous-mêmes ce que sent(ent) le(s) entité(s) maline(s).

Pour la vision comme pour l’odorat, toutes ces informations biologiques auraient pu constituer un prétexte scénaristique pour expliquer soit le pourquoi du comment de l’exclusivité de la perception du surnaturel par Indy, soit pour souligner l’horreur, à la façon du film espagnol REC (Plaza, 2007), où les personnages pourchassés par des zombies dévorateurs de chairs utilisent une caméra à vision nocturne (verte), ce qui suscite une angoisse décuplée, ou dans tels autres films d’horreur prétextant les flashes répétés d’un appareil photo – sans batterie restante – pour des jumpscares hardcore. Bien loin d’une vision anthropomorphisée délirante, telle que celle de La Belle et le Clochard (Bean, 2019) ou bien présente dans des séries TV de « chiens-flics-soldats» absurdes, comme Rintintin, rendons toutefois justice au film en rappelant le travail déjà très conséquent et réussi du cinéaste pour « rendre » cinématographiquement le réalisme de la vie canine du protagoniste, pour rendre filmiquement la vraisemblance de sa canitude.
Nous ne soupçonnons jamais suffisamment le niveau d’acuité dans l’observation qu’ont nos bêtes à poils. Entièrement tournés vers leurs maîtres, souvent aussi très très intéressés par les rituels gastronomiques dont ils profitent, ils entendent les pulsations rythmiques de nos cœurs, ressentent (quasi-physiquement, et olfactivement) notre stress, notre joie, sont capables de discerner le sens des grimaces sur nos visages et d’en décrypter les émotions. Lorsqu’Indy doit rester seul, enfermé à la maison, nos cœurs se serrent… Honte aux maîtres enfermant leurs bêtes des jours entiers, seules, entre quatre murs stériles, pour avoir seuls le luxe exclusif, à leur retour, chaque soir, de flatter leur peluche vivante privée ! –
Un Good Boy face au surnaturel et à l’horreur
C’est évidemment face à la dimension horrifique de cette maison hantée que l’acuité du chien, et son innocence, sont confrontées. Peut-être qu’au-delà de ses sens plus affûtés que les nôtres, le chien « en sait plus », simplement parce qu’il n’est pas humain, ou bien que le ou les entités démoniaques ne fonctionnent qu’imparfaitement parce qu’il reste un mammifère ? Nous ne pouvons pas en détailler plus, sous peine de divulgâchis, sur la nature de l’entité, de l’adversité, de la noirceur, qui s’en prend au maître et au(x)quel(s) le chien fait face. Mais rappelons que, tout comme lors de la vie domestique humaine « normale », le quadrupède doit affronter des situations incompréhensibles, sans toujours comprendre qu’il s’agit là d’éléments surnaturels. Le spectateur, qui suit la narration à travers les yeux du chien, est lui aussi mystifié par moments, ici où là, et participe de l’incompréhension du toutou, et de son impuissance (relative), en étant « contraint » avec lui à partager son impuissance d’animal innocent. Excepté par certains dialogues, enregistrements au magnétoscope, émissions TV, dialogues entre humains, qui lui sont transparents, au spectateur, mais pas au chien ! Ce jeu d’incertitudes croisées ménagent au spectateur des étapes de « digestion narrative », de respiration, et entretiennent la densité et la profondeur d’un film intense qui, comme nous l’avons déjà dit, est plutôt court (1h12min), ce qui est loin d’être un défaut pour nous.
Au sortir de la séance, une spectatrice nous a cependant fait part d’une théorie explicative pour le dénouement du film, théorie que nous ne partagions qu’à moitié, alors que d’autres spectateurs en proposaient d’autres. Mais motus, désolé…
Citons quelques réfs filmiques pas inutiles pour rappeller que le thème canin fut déjà bien traité. Fidèle Lassie est un film américain de 1943, tiré d’un roman à succès, racontant l’histoire poignante et dramatique d’une chienne colley parcourant une grande distance pour retrouver son jeune maître. Les animés et films Disney, comme Les 101 Dalmatiens ou La Belle et le Clochard (déjà cité) mettent en scène plusieurs fois des chiens et autres animaux domestiques, dans le but de susciter empathie, proximité et adhésion, souvent auprès d’un public jeune. Le film Dressé pour Tuer / White Dog (1982), de Samuel Fuller, tiré du roman Chien Blanc de Romain Gary, dénonça de façon originale le racisme, à travers le récit d’un berger blanc suisse, dressé pour chasser les personnes noires, coupable de nombreuses attaques d’innocents (noirs), et que les protagonistes cherchent à sauver de l’abattage judiciaire. Le chien blanc est recueilli et « reconditionné » par un dresseur, qui voit en lui la bête sensible derrière l’animal pavlovien et formaté. Aussi, plusieurs adaptations au cinéma des romans de London White Fang / Croc-Blanc et The Call of the Wild / L’Appel de la Forêt sont très comestibles pour l’esprit. Tout comme dans White Dog, il y est question de la part en nous d’animalité et de civilisation, plus en moins en conflit et / ou en interaction l’une avec l’autre, et du rapport à autrui qui en découle, en bien et / ou en mal.
Pour finir ce court listing, les films « canins » mêlant la science-fiction et / ou l’horreur sont assez peu nombreux. On trouvera Max, le Meilleur Ami de l’Homme (Lafia, 1993), dans lequel un adorable dogue du Tibet se révèle être une bête de laboratoire modifiée génétiquement pour le combat, mais toutefois capable de conserver malgré tout sa canidité (ce dernier terme est un néologisme, crée à l’instant par Krokski !). Dans Rottweiler, le Chien de la Mort (Yuzna, 2004), film d’horreur espagnol, un volumineux chien cybernétique (un Terminadog !), lui aussi modifié en laboratoire, et très certainement modifié génétiquement aussi – pas sympa du tout ! – poursuit avec une ténacité mortelle un évadé de prison, qui n’en avait pas tant demandé !
Mais aucun de ces films ne porte leur narration à travers le regard unique du chien-protagoniste principal, où le jeu des attentions et des ombres est portés par un travail efficace sur le son et par une gestion moderne des lumières et de la colorimétrie. Nous ne reviendrons pas là-dessus, sur le ou les causes explicatives du pourquoi du comment de(s) entité(s) maline(s), de la chose, présente dans Good Boy, pour vous laisser là, sur votre faim (de loup), à aller voir par vous-mêmes, ou non, ce film efficace, intense et sincère, fruit d’un cinéma indépendant états-unien, à petit budget bien dépensé, où l’amour du chien pour son maître est une évidence, une donnée scénaristique, mais, et cela n’est cité dans aucun des articles déjà consultés (et dont nous vous en donnons les liens en bas de page) où c’est surtout, à travers tout ce long travail de 3-4 ans, l’amour du maître pour son chien qui transparaît, en filigrane, en clair-obscur, en abîme… Ce qui en fait pour nous un film fantastiquement humain !

par Krokski
Sources utilisées :
- Lien vers la « scène du chat« , dans La Nuit Américaine (Truffaut, 1973).
- Article Wikipédia en anglais sur le Nova Scotia Duck Tolling Retriever.
- Article d’un labo vétérinaire sur la vision canine.
- Article Wikipédia sur l’effet Koulechov.
- Programmation de Good Boy au MIFF (Melbourne International Film Festival) ICI.
- Lien vers l’effet Koulechov, en images, par Lev Koulechov.
- Interview du 9 Mars 2025 du réalisateur Ben Leonberg dans Filmmaker : « Ce n’est pas AirBud ou Lassie, où le chien est toujours superficiellement heureux », dit le réalisateur du film d’horreur avec POV-canin, paru au SXSW. »
- Article paru dans Screen Daily le 10 Mai 2025 : « Shudder acquiert les droits pour les pays anglophones du hit « Good Boy » du festival SXSW. Altitude le vend à Cannes 2025. »
- Article paru dans Screen Daily le 13 Août 2025 : « Vertigo Releasing acquiert les droits du film d’horreur canon Good Boy pour les sorties en salles UK-Irlande ».
- Critique du 21 juillet 2025, parue dans rogererbert.com, de Clint Worthington : « Fantasia 2025 – Terrestrial, Hold the Fort, Good Boy ».
- Critique du 19 Août 2025, parue dans Le Journal du Geek, de Julie Hay : « Un film d’horreur comme vous n’en avez jamais vu ».
- Lien vers le film complet La Fidèle Lassie (Wilcox, 1943).
- Lien vers le film complet White-Fang / Croc-Blanc / Colmillo Blanco (Kleiser, 1991), en español latino (por favor) !
- Lien vers le film complet Max, le Meilleur Ami de l’Homme (Lafia, 1993).
- Lien vers le film complet Rottweiler, le Chien de la Mort (Yuzna, 2003).



















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